24 Heures du Mans : suivez notre direct !

16h00 / C'est ter-mi-né, en trois syllabes, comme Fer-ra-ri ! C'est la 499P #83 engagée non pas par le constructeur directement, mais par le team AF Corse qui remporte la 93e édition des 24 Heures du Mans : à son volant pour ce finish salué par un public massé contre les grilles, Robert Kubica, le Polonais, qui s'adjuge la classique sarthoise pour la première fois de sa carrière -en cinq participations- au côté du Britannique Philip Hanson et du Chinois Yifei Ye, qui fêtera demain ses 25 ans et dont on rappelle qu'il a été formé à la compétition automobile... au Mans !

15h45 / Vingt secondes seulement séparent le premier du troisième, à un quart d'heure de l'arrivée des 24 Heures du Mans, édition 2025 ! Robert Kubica mène la danse sur la Ferrari #83, suivi par Kevin Estre au volant de la Porsche #6 puis Antonio Giovinazzi qui pilote la Ferrari #51. Météo idéale, 382 tours bouclés, le public retient son souffle.

15h15 / 45 minutes avant la fin de cette 93e édition ! Que nous réservent les derniers instants ? Si les pilotes de tête semblent plutôt sages, limitant les risques liés notamment au trafic, ne poussant pas excessivement les vitesses et ménageant d'ultimes arrêts au stand, il est possible qu'on ait droit à un final assez pimenté : les six premières voitures évoluent dans le même tour -toutes se tiennent en deux minutes-, il sera sans doute tentant d'écraser le champignon pour monter sur le podium ! Deux Ferrari sont devant... mais Porsche, Cadillac et Toyota disposent de pions très bien placés ! 

14h58 / A une heure de l'arrivée, suite à une panne qui a immobilisé la dernière McLaren en course -la 720S #59 de Grégoire Saucy-, décision est prise de sortir les drapeaux jaunes sur l'ensemble du circuit : la neutralisation des débats ne dure que quelques minutes et sitôt la voiture en difficulté évacuée, la "meute" est libérée.

14h30 / Le meilleur temps au tour est désormais détenu par Sébastien Bourdais : le Sarthois, pilote chez Cadillac, a bouclé le circuit en 3'26''063 au volant de la V.Series R #38. Au dernier pointage, sa voiture était 9e du classement général.

14h00 / Allez, il ne reste plus que deux heures avant d'agiter le drapeau à damier ! On imagine mal un podium sans Ferrari tant ces 24 Heures du Mans auront été dominées par les trois voitures de la marque au cheval cabré... N'empêche, les six principaux acteurs de la catégorie Hypercar se tiennent "dans un mouchoir de poche", tous dans le même tour : au petit jeu des arrêts au stand, à la moindre défaillance technique ou humaine, tout le classement peut se trouver chamboulé ! Ferrari donc, mais aussi Porsche, Toyota, Cadillac ou même BMW pourraient bien figurer sur le podium de cette 93e édition...

12h24 / C'est fini, totalement fini pour l'écurie Idec Sports : exactement comme la voiture-soeur contrainte à l'abandon quelques heures plus tôt, l'Oreca 07 #28 de Job Van Uitert perd sa roue arrière-droite, dans le secteur du virage de la Chapelle. Le pilote s'immobilise, se détache de son siège et sort adresser ses remerciements au public -image forte- en formant un coeur avec les mains.

11h55 / Terrible mésaventure pour le clan Toyota ! A peine a-t-elle eu le temps d'accélérer en sortant de son stand, la GR010 Hybrid perd sa roue avant-gauche, qu'on a vu se désaxer, fumer puis finalement exploser : Ryo Hirakawa, au volant, évite de s'immobiliser dans les graviers et finit son tour... près de 13 kilomètres au ralenti et sur trois roues. Les mécaniciens réceptionnent la voiture qu'ils rentrent dans son box pour réparation. Dégringolade assurée au classement pour l'équipage qui pouvait viser un top 5.

11h24 / Frayeur chez Ferrari ! Alessandro Pier Guidi, alors en tête de la course, perd le contrôle de la 499P #51... Une petite aventure dans les graviers, un crochet par le stand et ça repart, au profit de Yifei Ye, sur la #83 : une Ferrari toujours, mais celle-ci est engagée directement par le team AF Corse, indépendamment du constructeur.

11h03 / Coup dur pour l'écurie Akkodis ASP Team ! La Lexus RC F #78 a fait une sortie de piste dans le secteur des virages Porsche : la voiture, qui effectuait son 268e tour, est sérieusement abimée et ne repartira sans doute pas. C'est Finn Gehrsitz qui était au volant... mais il entraîne aussi dans sa "chute" le pilote sarthois Arnold Robin.

10h05 / Ferrari, sur la voie du triplé ? A l'entame du dernier quart de la course, la marque au cheval cabré place ses trois voitures engagées en Hypercar sur le podium -provisoire, certes- : les 499P #51, 83 et 50, respectivement entre les mains d'Antonio Giovinazzi, de Robert Kubica et de Miguel Molina. En tête, mais à la merci du moindre faux-pas : dans le même tour, roulent en effet aussi les deux BMW, les deux Toyota, les trois Porsche et deux Cadillac... Un plateau homogène et serré comme rarement dans la catégorie-reine !

8h52 / Une Alpine dans les graviers, les drapeaux jaunes s'agitent, la course est neutralisée ! C'est Jules Gounon, au volant de l'A424 #36, qui est semble-t-il arrivé un peu vite dans le virage de Mulsanne... et qui l'a raté. Une fois dégagée, la voiture devrait repartir, mais l'espoir de finir dans le top 10 -synonyme de gain de points en championnat- s'amenuise sérieusement.

8h05 / Abandon fort probable pour la Cadillac #311 qui était déjà loin de jouer les premiers rôles dans sa catégorie Hypercar : Frederik Vesti bouclait un 247e tour de circuit à ses commandes lorsque la voiture s'est immobilisée sur la gauche de la montée vers la passerelle Dunlop.

 

7h30 / Cette journée de dimanche s'ouvre sur une domination confirmée de Ferrari puisque la "scuderia" truste les trois premières places : James Calado est en tête sur la 499P #50, Philip Hanson est 2e sur la #83 et Nicklas Nielsen sur la #50.

6h40 / Encore un pépin en abordant la deuxième chicane des Hunaudières ! La Porsche 911 GT3 R #85 de l'écurie Iron Dames se fait toucher, à l'arrière, par la Lexus #83 : Rahel Frey perd le contrôle de sa voiture et se retrouve bloquée dans les graviers... Une grue la dégage et la remet en piste, direction le stand à petite vitesse.

5h40 / Oups... André Lotterer, engagé en catégorie LMP2 sur l'Oreca 07 #18 de l'écurie Idec Sport, s'immobilise après avoir perdu sa roue arrière-droite dans la foulée de la seconde chicane des Hunaudières !

 

5h20 / Et c'est le retour d'un podium 100% Ferrari ! En tête, la #83 pilotée par Yifei Ye, suivie à 5 secondes par la #51 d'Alessandro Pier Guidi. 17 secondes plus loin, arrive la #50 de Miguel Molina. Ceci est provisoire, car il reste tout de même une dizaine d'heures de course...

4h50 / Duel haletant pour la première place en catégorie Hypercar... au bénéfice de Yifei Ye sur la Ferrari #83 qui parvient enfin, à l'entame de la première chicane des Hunaudières, à doubler la Toyota #8 de Ryo Hirakawa ! Et Porsche rétrograde au classement : Matt Campbell, sur la #6, n'est plus que 6e. On remarque que la BMW #15, jusque là discrète, occupe mine de rien maintenant la 4e place.

 

4h05 / La suprématie dont Ferrari aura fait preuve durant la première moitié de la course n'est plus tout à fait d'actualité : la tête est à présent occupée par la Porsche #6 de Laurens Vanthoor, devant la Toyota #8 de Ryo Hirakawa. La "scuderia" n'apparaît qu'en 3e place, et encore, il ne s'agit pas d'une voiture dite "d'usine" mais de la #83 du team AF Corse conduite par Yifei Ye. Les deux autres Hypercars de la marque au cheval cabré sont 5e et 6e.

 

3h55 / Problème de moteur pour la Cadillac #101 : au volant, Filipe Albuquerque s'est arrêté au niveau de la deuxième chicane de la ligne droite des Hunaudières, sa voiture a été évacuée, l'abandon devrait être acté rapidement.

3h14 / L'Oreca 07 Gibson #24 de l'écurie britannique Nielsen Racing est violemment sortie de la piste dans le secteur du Tertre-Rouge : au volant, le Turc Cem Bolukbasi -qui disputait ses premières 24 Heures du Mans- est allé percuter le mur de pneus... Lui est indemne, mais la voiture, sérieusement amochée, ne repartira assurément pas. On se dirige vers le cinquième abandon de l'édition 2025. La course est neutralisée, pour la première fois cette année, les "safety car" sont de sortie.

2h35 / Ouille... Les drapeaux jaunes s'agitent : la BMW #46, avec Kelvin Van Der Linde au volant, a fait un tout droit dans les graviers ! La voiture est prise en charge par une grue qui la remet en piste. Même si les dégâts semblent minimes, un passage par le stand est inéluctable.

2h00 / La course serait-elle en train de changer de physionomie ? Ferrari, qui aura longtemps roulé en tête et surclassé la concurrence, allant jusqu'à occuper les trois premières places avec ses Hypercar, semble de moins en moins à l'aise... Au-delà du fait qu'une Porsche, la #6 de Kevin Estre, se trouve désormais en pole, on assiste également à la remontée de la Toyota #8 : à son volant, Brendon Hartley pointe, dix heures après le départ, à une belle 3e position. 

1h30 / Une pénalité de 20 secondes -un "stop and go"- vient d'être infligée à la Ferrari #51 pour dépassement de la vitesse maximale autorisée dans la ligne droite des stands. C'est Antonio Giovinazzi qui s'en est rendu coupable.

0h01 / Ferrari, en course pour un nouveau sacre ? Tout porte à le croire, pour l'instant en tous cas : à minuit, c'est James Calado, au volant de la 499P #51, qui est en tête. A moins de 3 secondes, Philip Hanson suit, sur la #83. Kevin Estre, sur la Porsche #6, complète le tiercé gagnant.

23h30 / Qu'elle est sage, cette édition des 24 Heures ! Jamais les "safety cars" ne se sont montrés en huit heures de course, on ne compte que trois abandons, les conditions météo sont clémentes, les très efficaces Ferrari dominent... Quelques péripéties viennent malgré tout pimenter les choses, à l'image de la "poussette" dont vient d'être jugé coupable Paul-Loup Chatin, aux dépens de Loïc Duval : le pilote de l'Alpine #35 se voit imposer un "drive through" -pénalité de quelques secondes- dans les stands.

22h54 / Peu, très peu d'abandons depuis le début de cette édition 2025 des 24 Heures du Mans... Mais en voilà un tout de même, et il concerne les Italiens d'Iron Lynx qui officialisent la fin du parcours de la Mercedes-AMG #60 : la voiture, qui n'aura fait que 57 tours, aura multiplié les allers-et-venues au stand durant tout l'après-midi. "Ce n'est pas l'issue que nous espérions, après avoir tant travaillé" commente l'écurie.

22h40 / Paul-Loup Chatin et Loïc Duval se percutent -assez mollement- dans le virage de Mulsanne : l'Alpine #35 et la Peugeot #94 quittent la piste... mais réussissent à repartir, en direction de leurs stands respectifs : les voitures seront regardées par les mécaniciens et les pilotes sont d'ores et déjà "sous enquête" afin de déterminer les responsabilités dans cet accident.

22h05 / La nuit tombe sur le circuit des 24 Heures du Mans et la Ferrari de tête, la 499P #83 emmené par le Chinois Yifei Ye, boucle son centième tour. C'est à une 93e édition plutôt tranquille qu'on continue d'assister, dominée donc par les trois voitures de la "scuderia" engagées en catégorie Hypercar, puisque Miguel Molina et Alessandro Pier Guidi occupent les 2 et 3e places d'un podium... encore très provisoire !

21h50 / La McLaren #95 de l'écurie britannique United Autosports s'arrête en bord de piste, suite à des problèmes techniques : par précaution, la course est momentanément neutralisée, on agite les drapeaux jaunes.

21h00 / Cinq heures de course, 82 tours bouclés par les voitures de tête... On ne s'ennuie pas réellement, mais on n'assiste pas non plus à l'édition des 24 Heures du Mans la plus palpitante de tous les temps : piste sèche, accidentologie très faible, domination des Ferrari. On est, toutefois, encore loin du drapeau à damier, et tout peut encore arriver ! C'est l'Espagnol Miguel Molina qui mène les débats sur la 499P #50, devançant de 12 secondes son collègue Alessandro Pier Guidi sur la #51. En troisième position, c'est le Chinois Yifei Ye sur la #83. La "scuderia" en force !

20h15 / La pole position de la Peugeot #94 n'aura, c'était prévisible, pas tenu longtemps... A peine plus de quatre heures après le départ, la "scuderia" revient sur le devant de la scène, et pas qu'un peu : Antonio Fuoco est repassé en tête sur la #50, devant la #83 de Robert Kubica puis la #51 d'Antonio Giovinazzi. Les trois Ferrari engagées en catégorie Hypercar, aux trois premières places du classement général !

19h50 / Bon, ce n'est sans doute que provisoire compte tenu de son potentiel de vitesse, mais la Peugeot #94 conduite par Stoffel Vandoorne est... en tête de cette édition 2025 des 24 Heures du Mans ! Une pole que la marque au lion s'est octroyée au gré des arrêts au stand des Ferrari et Porsche qui menaient la danse jusqu'alors...

19h10 / Sans doute un premier abandon en perspective : Giammarco Levorato perd le contrôle de la Ford Mustang #88 dans le secteur du Tertre-Rouge, sa voiture tape le rail... Une pièce de carrosserie s'envole, une roue se décroche, l'arrière semble bien amoché, aïe !

18h33 / Changement de leader ! Antonio Fuoco, sur la Ferrari #50, a rattrapé puis dépassé la Porsche de tête, la #5 de Mathieu Jaminet.

17h52 / Bientôt deux heures de course : Porsche toujours en tête avec le Français Julien Andlauer au volant de la #5, suivi de près par la Ferrari #50 de Nicklas Nielsen, puis par la deuxième Porsche, la #6, conduite par un autre Français, Kévin Estre.

17h50 / James Calado, "flashé" à 364 km/h : c'est lui qui, au volant de la Ferrari #51, détient le record de pointe de vitesse... pour l'instant. Quant au meilleur temps au tour, c'est à Dries Vanthoor qu'il revient : 3'27''936 sur la BMW #15.

16h56 / Frayeur chez Peugeot ! La 9X8 #93, gênée dans les virages Porsche par une GT, quitte sa trajectoire, traverse un bac à gravier et percute le mur de pneus : Pau Di Resta fait s'envoler son capot mais il repart... pour s'arrêter au stand et réparer.

16h35 / Ciel très bas, nuages menaçants mais, pour l'instant en tous cas, le temps... et la piste, restent au sec. Tous les concurrents de la catégorie-reine -les "Hypercar"-, nettement plus rapides, mais aussi ceux qui disputent l'épreuve en "LMP2" ont d'ores et déjà ratrappé et dépassé les inscrits en "LMGT", plus lents.

16h10 / Un Français mène la danse : Julien Andlauer, pilote de la Porsche #5, parti en 3e position sur la grille, s'est offert les deux Cadillac qui le précédaient, et ce dès le premier tour !

16h02 / On attaque fort : Porsche passe en tête, avec la #5 !

16h00 / C'est parti : les deux Cadillac, parties en tête sur la grille de départ, conservent leurs positions. Départ "très propre", pas d'accrochage, pas de prise de risque inconsidérée.

15h57 / Roger Federer s'apprête à agiter le drapeau tricolore pour lancer la course.

15h50 / Roger Federer, invité cette année, a symboliquement, comme le veut la coutume, ordonné aux concurrents de "faire démarrer leur moteur".