Fête de la nature et de la photographie animalière près de Lisieux

Animal sauvage

Publié : 18 juillet 2024 à 13h34 par Joris Marin / Crédit photo : Association La Dame Blanche

Près de Lisieux, à Saint-Julien-de-Mailloc, le centre de sauvegarde de La Dame Blanche organise "la fête de la nature et de la photographie animalière" ces 19, 20 et 21 juillet. Au menu, de nombreuses animations au profit de la bonne cause.

Chaque année, le centre de sauvegarde de La Dame Blanche, qui est situé à Saint-Julien-de-Mailloc, accueille plus de 1 200 animaux de la faune sauvage en détresse. Ils sont soignés par les équipes sur place avant d'être relâchés dans le milieu naturel. Afin de mener à bien cette mission et pour permettre de diffuser de l'information sur la biodiversité, La Dame Blanche organise tous les ans "la fête de la nature et de la photographie animalière". L'édition 2024 se tient ces 19, 20 et 21 juillet. Au menu, une sortie nocturne le vendredi permettant d'explorer le monde des chouettes, une mise à l'honneur de plusieurs associations de protection de la nature, un repas convivial le samedi -déjà complet- suivi d'une séance de cinéma en plein air ou encore un stand avec des jeux de société ainsi qu'un concours de la photographie animalière et une exposition photos. Egalement au programme, des relâchés d'animaux accueillis et soignés au sein du centre, prêts à retrouver leur milieu naturel. Buvette et restauration sur place les 20 et 21 juillet.

Objectif : 2 000 euros, pour financer une volière

L'entrée est gratuite mais les bénéfices sont rendus possibles grâce à quelques activités payantes, à la buvette et à la restauration. Ils vont contribuer à financer directement le centre de sauvegarde. Très concrètement, l'objectif du week-end est de récolter au minimum 2 000 euros. De quoi acheter par la suite une volière qui abriterait de petits oiseaux comme les hirondelles, le temps de leur convalescence, avant de retrouver la nature. Si La Dame Blanche a fermé définitivement son parc animalier en septembre 2023, le site normand cherche tout de même à se développer, en poursuivant les soins donnés à la faune sauvage en détresse et en continuant la sensibilisation à la protection de la biodiversité locale.