Toyota : le doublé, encore !
Publié : 16 juin 2019 à 22h31 par Emilien Borderie
Maudite plusieurs années de suite sur la classique sarthoise d'endurance automobile, la marque japonaise a maintenant sérieusement pris sa revanche : comme en 2018, Toyota a remporté, ce dimanche 16 juin, les 87e 24 Heures du Mans.
On prend le même trio et on recommence. Fernando Alonso, Sébastien Buemi et Kazuki Nakajima ont remporté les 24 Heures du Mans pour la deuxième fois en deux ans : le trio s’est de nouveau imposé ce dimanche 16 juin au volant du prototype TS050 hybride qui avait brillé en 2018 sur la classique sarthoise d’endurance automobile.
Sur une crevaison
Mais ce n’est qu’à une heure de la fin de l’épreuve que le podium final s’est décidé : alors qu’elle menait et semblait rouler droit vers un sacre, l’autre Toyota, conduite à ce moment-là par José-Maria Lopez, a été victime d’une crevaison : "C’est terrible pour eux, la voiture n°7 méritait de gagner, mais la course nous a choisis nous" a réagi Fernando Alonso à l’arrivée.
Le titre mondial
L’équipage de la Toyota n°8, qui n’avait par ailleurs pas su se montrer aussi rapide que les collègues Kamui Kobayashi, José-Maria Lopez et Mike Conway lors des essais qualificatifs, s’est par la même occasion adjugé le titre de champion du monde d’endurance. Pour Fernando Alonso, il s’agit du deuxième titre mondial FIA, après celui décroché par l’Espagnol en Formule 1.
Un privé sur le podium
Sur la troisième marche du podium des 24 Heures du Mans millésime 2019, un prototype privé engagé par l’écurie SMP Racing : la n°11, une BR Engineering BR1 confiée à Vitaly Petrov, Michail Aleshin et Stoffel Vandoorne. Ce dernier, ex-coéquipier de Fernando Alonso en F1 chez McLaren, découvrait Le Mans ce week-end !